Les sons peuvent faire notre bonheur, la nature en est emplie, à l’inverse le bruit peut rapidement devenir un enfer...La musicothérapie c’est autre chose encore.....
Le traitement par les sons rime pour moi avec Hiperion*. Hiperion* est un nom déposé. Parler d’Hiperion*, c’est parler de psychosonothérapie, de musicothérapie réceptive.
Hiperion* teste l’écoute et non pas l’audition. L’écoute est la façon subjective d’utiliser son audition. Parmi les personnes qui ont un test d’écoute perturbé, beaucoup entendent bien mais…écoutent mal. L’écoute est un processus actif qui peut être influencé par des problèmes psychologiques, par des dysfonctionnements organiques. Des expériences sensorielles ou affectives malheureuses peuvent nous hyper-sensibiliser à certaines fréquences Des tensions musculaires cervicales consécutives à un déplacement vertébral nous forceront à « tendre l’oreille ». Un cercle vicieux peut s’instaurer entre une capacité auditive perturbée et un message erroné transmis au cerveau. En améliorant de façon considérable les problèmes de dyslexie, de latéralité, cette méthode améliore les résultats scolaires, facilite l’apprentissage des langues,. Indirectement elle gomme le stress de nombreux enfants de nombreux adolescents mais également de nombreux parents. Pour les adultes en difficulté comme pour les plus jeunes, HIPERION est le « starter du changement ».
Hiperion* peut encore nous aider à améliorer les problèmes d’audition douloureuse encore, donc la tolérance à un environnement, à une situation, à un entourage comme par exemple à celui d’un supérieur hiérarchiquement parlant ou tout simplement un enseignant ou un parent. Hyperacousies (audition douloureuse), misophonie (bruits difficilement supportables) ou acouphènes (sons fantômes) hyper activent les circuits du stress.
Améliorer l’écoute, diminuer les problèmes d’audition douloureuse, c’est nous donner des capacités d’amélioration de notre engagement social. Améliorer la fonctionnalité des muscles de l’oreille moyenne, c’est augmenter le potentiel des voies parasympathiques, notamment celles du vague mammalien, celles du vague myélinisé, celles du vague ventral encore.
Si l’on parle de la théorie polyvagale (de Stephen Porges) on peut parler de système d’engagement social, on peut parler de système « cerveau, face, cœur », et je dirais particulièrement ici de système « cerveau, écoute, cœur », on peut parler de la beauté d’un chant d’amour, d’une sérénade, du chant des cigales encore.....